Le sport à Aubagne, c’est une belle histoire qui dure depuis plusieurs décennies, vouée à se poursuivre grâce à la volonté de l’équipe municipale actuelle et de l’ensemble des acteurs du tissu sportif.
En 2014, la ville d’Aubagne comptait 112 associations sportives et 14 000 licenciés avec une enveloppe budgétaire consacrée aux subventions et aux contrats d’objectifs d’un montant de 590 000 euros. Aujourd’hui, 137 clubs sont recensés pour 16 000 licenciés et le budget en question dépasse les 733 000 euros, témoignant ainsi d’un développement significatif.
Il faut aussi retenir qu’Aubagne a été la première ville du département à obtenir le label « ville active et sportive » avec trois lauriers. « Le sport pour tous ne doit pas être une simple annonce, mais une réalité concrète suivie dans les faits » analyse Pascal Agostini, adjoint délégué au Sport et au Patrimoine sportif.
Parmi ces faits, nous relevons le développement du Handisport et des structures d’accueil dans les clubs, celui du Sport Adapté, le Sport Santé et la mise en place précoce du Tremplin Sport Santé, le sport universitaire grâce aux STAPS et au GRETA, le sport féminin, le sport scolaire et périscolaire, le sport éducatif, le sport nature éco-responsable en partenariat avec l’OTI… L’éventail est large.
La politique sportive participe du rayonnement de la ville d’Aubagne à l’aide des nombreux événements qu’elle organise. En 2017, Marseille Capitale Européenne du Sport a éclairé Aubagne de la lumière de ses projecteurs. Il y a aussi eu l’accueil des Formule 1 en ville et, bien sûr, les Paris-Nice et les Tours de La Provence, le retour du Festival International Espoirs de Football Maurice Revello, l’accueil des rugbymen des équipes de France, de Toulon et de Provence Rugby, des basketteurs de Fos/mer, des footballeurs et footballeuses olympiques, les rencontres internationales d’athlétisme et de gymnastique…
Enfin, les équipements sportifs ont eux aussi connu une réelle expansion. Des incontournables travaux d’entretien et de mise aux normes des 56 sites gérés par la ville avec quelques réalisations d’envergure comme la Piscine Alain Bernard, la création du terrain synthétique avec remplissage écologique du stade Jo Bonnel, les club-houses du rugby et du football, les aires de fitness, en passant par l’acquisition du site d’escalade du « miroir du fou », ou encore la reprise du plateau des Espillières et de son centre.
Ce bilan serait incomplet si nous oublions les projets qui alimentent quotidiennement la politique sportive de la ville fondée sur la poursuite des efforts engagés depuis onze ans, avec toujours cette même volonté d’aller de l’avant pour une ville qui gagne. » Pascal Agostini